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Histoire gay

Jeudi 4 mai 4 04 /05 /Mai 15:01

Je revenais de la plage où j’avais passé une partie de la journée à bronzer… nu. Pour quitter la crique où je m’adonne à ces plaisirs solitaires, je dois emprunter un chemin de crête au milieu des faux mimosas et des buissons divers. J’ai remarqué que la journée passant sans doute sous l’effet des U.V. et la vue d’autres hommes nus, ma libido s’aiguise et il faut peu de choses pour passer à l’acte.


Je me trouvais donc sur ce chemin quand je croisais un jeune homme de 25 ans environ, vêtu d’un jean, de boots, et d’un tee-shirt. Visiblement, il n’était pas là pour venir se baigner ou prendre un bain de soleil. Lorsque je passais à sa hauteur, il me regarda comme s’il avait un rayon de radiographie à la place des yeux. Je poursuivis ma route tout en décélérant mon pas. Puis, je me retournais pour constater que lui-même me regardait continuer. Il n’était pas spécialement beau mais paraissait avoir un corps bien proportionné, du moins dépourvu de graisse. Vu l’insistance de son regard et le fait que je pouvais lire dans ses yeux, une assurance certain, voire la certitude, je décidais de ne pas lui donner la joie de lui emboîter le pas immédiatement. Je continuais une dizaine de mètres où après un coude, je serai à l’abri de son regard par la végétation environnante. J’attendais deux à trois minutes pour revenir sur mes pas pour voir avec satisfaction qu’il était lui-même reparti dans son sens initial de marche. Trois minutes plus tard, je le voyais contemplant le panorama et la mer du haut d’un promontoire. Je me mettais à l’écart une dizaine de mètres plus loin. Il me vit, me regarda et demeura immobile. Puis se remit à regarder le paysage ou plutôt à essayer de voir les hommes qui exposaient plus bas leur nudité aux rayons du soleil.


Je restais à l’observer sans chercher à me cacher mais plutôt ostensiblement. Sentant que je l’observais, il me regarda et j’en profitais pour me caresser la verge à travers la toile de mon bermuda de surf. L’invite était on ne peut plus claire mais cette fois, j’avais l’initiative. Il me regardait me tripoter sans gêne ce qui me confirma bien qu’il était bien là pour çà. Je décidais donc de quitter ma position pour me diriger vers un chemin qui serpente dans la colline où s’il devait se passer quelque chose, nous serions tranquilles. Le fait même d’emprunter ce chemin qui ne mène à nulle part était une invite claire supplémentaire qui devait m’apporter la confirmation que je voulais. Comme je l’espérais, il entreprit de me suivre. Bingo !!! Je prenais un peu de vitesse pour avoir le temps, une fois là où je voulais aller, de préparer ma mise en scène. Arrivé dans un endroit que je jugeais suffisamment à l’écart, je baissais mon bermuda et commençais à me caresser en prenant soin de tourner le dos au chemin d’accès, pour qu’il ne découvre ma bite qui bandouillait qu’au dernier moment. La vue de mes fesses nues, le bermuda sur les claquettes et le mouvement de mon poignet devaient être suffisant pour l’éclairer sur la nature de mes actes.

 

Je l’entendis arriver par le bruissement des feuillages et le craquement des brindilles en même temps que je sentais sa présence. Je fis comme si je n’avais rien vu et je m’aperçus qu’il contournait ma position par la droite pour arriver dans mes deux heures et ainsi pouvoir voir l’objet de sa convoitise. Je continuais à me masturber et lui s’approcha de moi, le regard fixé sur ma queue. Je m’attendais à ce qu’il me la prenne à pleine main, il n’en fit rien. En fait, il se pencha vers elle pour l’engloutir dans sa bouche. Immédiatement, je sus qu’il n’était pas novice loin s’en faut, car il avala ma bite de taille tout à fait respectable jusqu’à la garde. Il aimait cela et cela était patent car il l’enveloppait de sa langue, resserrait la pression de ses lèvres, sortait pour léchouiller le gland et lécher la hampe. Quand, il me voyait frissonner, il relâchait ses lèvres de peur que je ne jouisse trop vite. Mais à ce rythme là, il eut vite fait d’avoir raison de moi et juste le temps de me retirer subrepticement pour voire mon sperme partir par saccades rythmées et allait mourir dans la terre du sol. Du pouce et de l’index, je pressais le gland pour évacuer la dernière goutte de jus qui sortait du méat.

A aucun moment, il ne s’était déshabillé, ni caressé lui-même, son seul plaisir consistant visiblement à me faire jouir et voir mon sperme.

Après avoir remis mon bermuda, je l’ai remercié et nous sommes dit au revoir et il m’a lâché un « à la prochaine » de bon augure…     

 


Par Steven - Publié dans : Histoire gay
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Lundi 1 mai 1 01 /05 /Mai 10:06
Salut moi c Kevin, j ai 16 ans et je suis brun yx bleus assez musclé. Je vais vous raconter une histoire qui va vous faire bander si vous etes homo.
C était cet été, je suis parti a la montagne une semaine avec Céd... mon meilleur pote, il a 17 ans il est blond yx bleus et est chere bien foutu. Il n'y avait qu'un grand lit dans la chambre alors on a dormi dans le meme lit.
Un soir, on se raconte nos histoires avec nos anciennes meufs, et on commence a deriver cul. La je commencais a bander car je suis bi et il m attirait depuis longtemps. Je lui demande donc si il veut se branler, car lui aussi semblait cho. Il me dit ok, et on comence a s astiquer. Je lui demande si je peut le branler, il se marre et me dit oui. Je lui prend alors sa queue et l astique, elle etait chere gross. Il faisait noir, c t la nuit. Pendant ce temps la, je lui caresse ses jambes musclées et poilues. Je commence a me baisser et met sa queue dans ma bouche. Il etait vachement surpris o debu, puis apres me dit de continuer, que c tro bon. Je lui leche ses boules, sa queue, et lui caresse ses abdos.Il comence a me prendre la tete, donne des coups de rein dans ma bouche et crache son jus dans ma bouche. C t tro bon. Apres il me deshabilla mon calecon et me suca a son tour. On s endormit enlacés. Ojourdui on est toujours tres potes, et on se suce encore des fois. Moi je vous dis, tout en ayant des copines, chaque garcon devrait sucer et se faire sucer par un mec, car les mecs sucent bien mieux que les meuf.
Par Kev - Publié dans : Histoire gay
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Samedi 29 avril 6 29 /04 /Avr 12:35
Il n'était pas vraiment dans la zone gay de la plage naturiste. Juste à la frontière. Bien foutu, grand, sec, blond, crâne rasé, un joli visage, des yeux bleus, un léger duvet doré sur le torse et les jambes. Et un petit lézard tatoué sur le biceps. De toute évidence, pas un gars d'ici. Un mec du nord. J'ai posé ma serviette à quelques mètres de la sienne. Je ne sais plus qui a engagé la conversation, je me rappelle qu'elle débuta alors que nous étions dans l'eau. 2 heures de blabla sous le soleil. Il n'était pas marseillais, nouvellement installé. M'a parlé de nana, de foot, semblait hétéro. Avons papoté de tout et de rien, je le draguais, lui faisait mine de rien. Je regardais avec envie ses formes, son sexe. Il semblait ne pas s'en rendre compte. Me laissait le reluquer.

La soif nous a chassé du bord de mer. J'lui ai proposé de boire un pot à la maison. Il a dit non, j'ai insisté, il a hésité, puis a dit oui.

Chez moi. On se désaltère. Puis pour être tout à fait bien, j'lui propose une douche, pour dessaler nos épidermes. Il hésite, inquiet. Puis accepte. Je lui montre la salle de bain, règle la température de l'eau, puis sors. 2 minutes après, je rentre pour lui apporter une serviette. J'lui dis que l'appel de l'eau douce est irrésistible
- je peux prendre une douche en même temps que toi?
- euhhh... mouai... me fait-il perplexe.

Je me déshabille. J'ouvre la porte en plexiglas, m'installe sous le jet. Il me tourne le dos. Il semble gêné, raide. Je vois ses merveilleuses fesses poilues, son dos musclé, ses belles cuisses... Je propose de le savonner. Il ne répond pas. Je prends le gel douche, et lui caresse le dos. Il ne dit rien, reste pétrifié. Mes mains palpent ses fesses, puis ses jambes. Il ne bouge pas. Mes bras l'entourent, je savonne son torse, mon corps collé au sien. Mes mains glissent de haut en bas, en passant sur son sexe elles butent sur un long obstacle. Il bande. Il se retourne lentement. Sous un déluge de gouttelettes nos corps se mélangent, il m'embrasse, nous nous caressons...

Nous avons fait l'amour. C'était sa première expérience homo. Au comble de l'excitation, alors que j'étais allongé sur le dos, il a voulu me prendre comme une femme, son sexe me cognant les couilles! J'ai dû le calmer, il me faisait mal. Il était fou, avait une énergie animale.
On a recommencé 3 ou 4 soirs. Puis nos routes se sont séparées. Je l'ai revu, 5 ans plus tard. Il semblait heureux.

Il avait un ami... qui me ressemblait un peu.

Par Steven - Publié dans : Histoire gay
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Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 22:12
Gap. L'été. Pleine nuit.Mon ami m'a abandonné. Pour faire la fête avec son amant du moment. Je suis seul, perdu dans les Alpes. Je me venge, je sors.

Dans le parc face à la gare, le minuscule coin de drague local (et même départemental): 3 bosquets autour d'un chiotte. Quelques mecs fades errent à la recherche d'un improbable plaisir... Dans le lot, un pas fade du tout mais semble-t-il un peu fada. Me paraît terrorisé. L'oeil parano, il se retourne sans cesse, bouge en tous sens... Dans la pénombre, j'ai remarqué son corps musclé et sa belle tronche.

Petit jeu classique: je rentre dans les toilettes publiques, il me suit. Rapides sourires valant acceptations réciproques. Inquiet, il me propose d'aller ailleurs. Ok. Nous rejoignons ma voiture. Je démarre, tout en bavardant il m'indique le chemin. Nous attaquons la montagne. A pic au-dessus de la ville, un sommet boisé surmonté d'une grande bâtisse. 5 minutes de zigzag, puis arrivée sur un immense parking... sans éclairage. Une nuit sans lune. Dans la lumière des phares, je vois loin de nous 1 voiture à droite, un camping car à gauche. Nous sortons, sautons une barrière, passons une haie... Je devine une clairière. Nous nous allongeons sur la pelouse, nous nous enlaçons... Caresses, déshabillage, nous voilà nus l'un contre l'autre...

Quand tout à coup je sens une présence, là, derrière moi. Je me retourne, putain il y a un homme. La trentaine. Grand, mince, en jeans, crâne rasé. Mon coeur s'accélère, que veut-il? Je préviens mon compagnon
-y'a quelqu'un!
L'inconnu se tripote. Nous dit, avec une grosse voix grave:
- j'peux mater? Hésitation. Il se rapproche, définitif il est beau, c'est un méga mec, il caresse une énorme queue...
- Alors, j'peux mater?
Cuisses musclées, torse en béton, gueule de brute, regard fou... Veut se taper les deux à la fois. Règne en seigneur... Tout est à lui, nous sommes des chiens, debout jambes écartées la tête dans les étoiles il est notre maître et exige un culte, à sa bite à ses couilles, il est l'homme dans toute sa force...

Il n'a pas fait que mater. A largement participé. Devait être militaire, un chasseur alpin. Etait brusque, presque violent parfois. Trop viril.
Mais quel souvenir...
Par Steven - Publié dans : Histoire gay
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Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 22:08
Le Stade Vélodrome projette dans le ciel un immense halo de lumière. Le public hurle, la sonorisation amplifie ce bruit de foule en délire qui envahit par échos tout le quartier. A 5 minutes de là, ce soir de match, ma voiture m'amène à IBM (drôle de nom pour un lieu de rencontre gay: le siège régional de la firme est tout simplement dans cette rue des quartiers chics marseillais).

L'avenue est déserte... Seule une bagnole blanche assez défoncée stationne près d'un portail. Je longe la quasi épave, et découvre au volant un brun torride, 30 ans, barbe de 3 jours, cheveux ras, oeil noir... un aspect agressif. Une beauté virile, tout le charme des mecs méditerranéens. Son sombre regard me fixe méchamment. Puis il sourit.

Sans quitter nos véhicules, vitres ouvertes, un dialogue s'instaure. Il me balance:
- Qu'est-ce-que tu cherches?
Sa voix est basse, sèche, grave, rauque, popu, hétéro.
- Un mec pour passer un bon moment...
- Ouai... Officiellement, pour ma femme, j'suis aller voir l'OM. Et puis ça m'travaille... Tu sais, j'ai pas l'habitude. J'suis pas pédé mais...
Je lui propose un plan chez moi. Il hésite. Je le rassure en lui disant qu'on boira un verre.
- Après, tu fais ce qu'tu veux.
Il accepte.
Chez moi. On s'installe sur le canapé. Il me demande un whisky. J'lui laisse la bouteille. il en boit 2 verres d'affilée. On parle.
- J'sors de taule. 4 ans aux Baumettes. Putain c'est bon dehors...
- T'as fait quoi comme connerie?
- Série de cambriolages. Puis d'autres...
Il est super beau. Une gueule somptueuse. 1M75 de muscles secs. Il a enlevé sa veste. Son marcel blanc me laisse voir 2 bras balaises recouverts de poils noirs et de tatouages. Il porte une alliance. Il se ressert un verre, puis un autre encore. Je ne suis pas tranquille.

Au bout d'un quart d'heure, je me rapproche de lui. Et le teste: une main s'égare sur sa cuisse bombée. Puis remonte jusqu'à sa braguette. Il se laisse faire. Regarde dans le vide. Je le caresse, puis commence à le déshabiller. j'enlève son jean. Putain il est canon. Son sexe déborde du slip. Grosse queue. Couilles pleines. Des poils partout. J'enlève son tee-shirt... Torse baraqué. Il est nu, et passe à l'attaque. - Fouts-toi à poil.
Pas de câlins. Corps à corps de lutteurs. Peau contre peau. Il n'embrasse pas ne suce pas. Mais Il va accepter le reste...
- On s'encule?
C'est moi qui commence. J'hallucine! J'suis en train de baiser un taulard. Pas de romantisme, il n'arrête pas de répéter agressivement
- Salaud tu m'encules, Salaud! Ouai il te plaît mon cul connard!

Il accepte tout, en m'insultant en permanence. J'ai l'impression qu'à tout instant il va me foutre une baffe et me massacrer. 20 minutes d'extrêmes tensions sexuelles. Baise brute. Pas de domination, pas de soumission. Egalité. Pas de tendresse, qu'un plaisir brusque et viril entre deux hommes qui se ressemblent...

Avant de partir (très vite après la jouissance), il m'a jeté un dernier regard noir, menaçant, en me disant:
- "On s'connait pas, on s'est jamais vu."

Puis il a disparu.
Par Steven - Publié dans : Histoire gay
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