Nu, allongé sur ma serviette de plage, je dore au soleil. Mon corps couvert d'un mélange de sueur et d'huile solaire brille sous les rayons du soleil. Je me tourne, me retourne. Hum ! En moment sur le ventre, le soleil mord mon dos. Je suis bien. Je commence à rêver.
Il ne me manque presque rien en fait. Juste une main, la tienne ? Une main douce qui me masserait le cou puis descendrait lentement le long de ma colonne vertébrale. Un peu plus d'insistance dans le creux des reins. Hum ! Oui ! Et puis cette main passerait entre mes fesses, dans ma raie toute lubrifiée, douce, brillante...Puis plus bas encore, sur mes couilles complètement détendues par la chaleur et enfin sur mon sexe, mon gland en fait lubrifié lui aussi.
Voilà je sens ta main qui caresse mon sexe en prenant appuie dans ma raie. Un doigt sur mon trou... mes fesses se ferment. Alors tu décides de te mettre à califourchon sur mon dos, tourné vers mes pieds. Tu fais glisser ton sexe et tes couilles sur mon dos, je sens d'ailleurs tes couilles se lover au creux de mes reins, puis ton sexe durci frotter, non glisser entre mes fesses. Petit à petit tes mouvements sont plus rapides, tu te penches toujours plus en avant, je sens ton sexe puis ta langue se frayer un chemin dans ma raie. Oh c'est doux. J'écarte les cuisses pour te laisser passer au plus profond...
Hum ! Trop bon. Et puis... soudain une sensation de fraîcheur ! Etonnant, mais que fait-il ? Il a pris mon sexe dans sa bouche. Ton visage entre mes fesses, mon sexe dans ta bouche... Mon sexe coincé, tendu, vibrant, prisonnier de ta douceur, oh ! Et puis ? Soudain tu stoppes tout ! La vache ! Tu te redresses, un instant seulement… Te voila accroupi de nouveau au dessus de moi.
Doucement tu me retournes sur le dos et je peux découvrir ton torse bien dessiné, ton visage souriant... Mon sexe est dressé contre le tien. Tu glisses sur mon ventre, je sens tes couilles se mouler de part et d'autre de ma verge, à son tour moulée par ta raie bien serrée. Mon gland est couvert de mouille, tes mouvements l'étale sur toute la longueur de ma tige. Tu vas et viens, un peu plus vite. Je redresse un peu le torse pour profiter du spectacle. Mais c'est trop bon, ma tête part en arrière, mais yeux se perdent dans le vide et tu me caresses la pomme d'Adam.
Ahan ! Ahan ! Je n'en peux plus. C'est trop ! Je sens le plaisir venir, monter, pointer. Des gouttes blanches tombent sur mon torse doré. Quelques spasmes secouent mon corps, encore plus de gouttes... Je reste là un moment au soleil... Je contemple mon corps, toujours brillant, cette touffe de poils blond, éclaircis par le soleil, et ces gouttes dans mes poils, du sperme ? Oui sans aucun doute : mais où est-il ? Un rêve, un simple rêve peut-il faire autant d'effet ?
Il cherchait une co-location. Désireux de réduire me charges et disposant d’un grand logement, j’avais vu son annonce sur un site homo et j’avais appelé le numéro de portable qu’il y avait laissé. La voix du garçon était enjouée, douce et sure d’elle. L’impression était positive. J’essayais d’imaginer à quoi il pouvait bien ressembler. Tout ce que je savais c’est qu’il avait 28 ans et qu’il travaillait dans le prêt-à-porter en tant que responsable d’une boutique de fringues. Nous étions tombés d’accord sur le prix ainsi que sur certaines règles de vie commune. A l’heure convenue, j’entendis la sonnette de la porte d’entrée carillonner. Excité par la curiosité, je m’y précipitais mais attendis deux minutes avant d’ouvrir pour ne pas avoir l’air trop empressé.
David était plus beau que je ne l’avais espéré. Il était mince, longiligne, les cheveux bruns foncé, le teint hâlé, des yeux gris et un visage… un visage. Apparemment, il était une « fashion victime » mais cela je l’avais supposé compte tenu de son activité professionnelle.
Je lui proposé de s’asseoir et lui offrit à boire. Je m’asseyais en face de lui pour garder des distances que je jugeais nécessaires dans le cadre d’une sous-location et puis c’est vrai que, le jugeant trop bien physiquement pour moi, je m’étais résigné à ne pas chercher à le séduire.
Nous avons discuté une bonne heure sur tout, sur nos goûts, sur la définition de nos espaces et il fut décidé qu’il commencerait à emménager à partir du lendemain. J’étais subjugué par sa beauté tout à la fois masculine mais aussi quelque part androgyne. Le signal de la fin de l’entretien ayant été lancé par un « Bon je vais y aller… », je le reconduisais vers la porte d’entrée. Avant même d’arriver dans le vestibule, il se trouva tout prêt de moi et… succombant à une envie irrésistible, je l’enlaçais. Apparemment, il n’attendait que cela car lui-même me serra dans ses bras et m’embrassa goulûment avec un désir patent. La fièvre monta de suite en même temps que ma verge se redressait. Au même moment, je sentais une bosse dans son pantalon se durcir et prendre des proportions alléchantes voire inquiétantes. Nous étions animés tous deux d’une véritable frénésie sexuelle. C’était chaud, torride et il commença à me malaxer la bite à travers mon bermuda. Je mouillais déjà. Puis en quelque minutes, nous nous sommes foutus à poil en plein couloir et je l’ai entraîné vers la chambre à coucher, laissant nos vêtements épars. A peine sur le lit, nous avons continué à nous embrasser, puis j’ai abandonné ses lèvres pour son torse totalement et naturellement imberbe, ses tétons et son nombril et oups… j’ai buté sur son gland. Sa bite était là gonflée, belle, longue, large, avec un superbe gland déjà humide de désir.
J’ai contourné cette queue préférant laisser le morceau de choix pour plus tard et je suis descendu vers ses testicules. J’ai découvert deux belles prunes imberbes que j’ai gobées tour à tour et ensemble. Puis craquant, j’ai enfourné son gland et ai sucé, lécher cette belle pine qui devait faire plus de 20 centimètres de long. Quand il eut marre de subir, David me pris par les épaules pour me plaquer sur le dos. Il mordilla les seins tout en me caressant la bite, onctueusement. Puis il les quitta vite pour l’enfourner dans la bouche avec une avidité excitante. Il suçait divinement bien et je devais lutter pour ne pas exploser dans sa bouche moi qui, d’ordinaire, suis assez lent à la détente. Puis il abandonna ma verge pour aller titiller ma rondelle de sa langue comme s’il avait deviné que c’était un des trucs que je kiffais grave. Il m’a soulevé les cuisses pour mieux accéder à mon anus. C’est trop bon. Il jouait autour, y allait timidement puis revenait et rentrait sa langue comme s’il me pénétrait avec une mini-verge puis d’un seul coup me « broutait » la zone comme s’il voulait me manger. C’était divin. Puis il avalait ma verge et il revenait à ma rosette. Sa salive coulait, j’étais mouillé mais c’était le pied.
Puis je l’ai vu le pencher et j’ai compris qu’il avait repéré une capote sur ma table de chevet. Il déchira l’emballage et fit glisser le préservatif sur son braquemart. Une fois équipé, il plaça son gland à l’entrée de mon anus qui était ouvert et qui n’attendait que cela. Puis avec délicatesse, douceur, précaution, il s’enfonça lentement en prenant garde de ne pas me faire mal, et en une poussée il fut entièrement en moi. Il commença ses allers et retours pendant que je me branlais. Je sentais mon anus onduler autour de sa grosse pine comme si j’avais à l’intérieur une main qui le masturbait. En même temps, qu’il allait et venait de plus en plus vite et profondément, il me pinçait les tétons. J’eus très vite, un premier orgasme anal… puis un deuxième… puis un troisième et j’éjaculais ou plutôt j’explosais. Mon sperme partit en jets sur mon torse, mon visage, mes draps, mon oreiller. Il y avait partout. David après un ou deux allers et retours, grogna comme un animal, et je sentis sa semence arriver dans mon anus par saccades.
Il s’écroula sur moi, épuisé, et cela bien que je sois couvert de mon propre jus. Il était toujours en moi et bien que sa queue ait perdu un peu de sa raideur elle était toujours là bien épaisse. Au bout de cinq minutes de bisous et de câlins, il se dégagea et se fut le signal d’une douche à deux qui fut tellement coquine que j’ai crû qu’on allait repartir pour un autre round.