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Je revenais de la plage où j’avais passé une partie de la journée à bronzer… nu. Pour quitter la crique où je m’adonne à ces plaisirs solitaires, je dois emprunter un chemin de crête au milieu des faux mimosas et des buissons divers. J’ai remarqué que la journée passant sans doute sous l’effet des U.V. et la vue d’autres hommes nus, ma libido s’aiguise et il faut peu de choses pour passer à l’acte.
Je me trouvais donc sur ce chemin quand je croisais un jeune homme de 25 ans environ, vêtu d’un jean, de boots, et d’un tee-shirt. Visiblement, il n’était pas là pour venir se baigner ou prendre un bain de soleil. Lorsque je passais à sa hauteur, il me regarda comme s’il avait un rayon de radiographie à la place des yeux. Je poursuivis ma route tout en décélérant mon pas. Puis, je me retournais pour constater que lui-même me regardait continuer. Il n’était pas spécialement beau mais paraissait avoir un corps bien proportionné, du moins dépourvu de graisse. Vu l’insistance de son regard et le fait que je pouvais lire dans ses yeux, une assurance certain, voire la certitude, je décidais de ne pas lui donner la joie de lui emboîter le pas immédiatement. Je continuais une dizaine de mètres où après un coude, je serai à l’abri de son regard par la végétation environnante. J’attendais deux à trois minutes pour revenir sur mes pas pour voir avec satisfaction qu’il était lui-même reparti dans son sens initial de marche. Trois minutes plus tard, je le voyais contemplant le panorama et la mer du haut d’un promontoire. Je me mettais à l’écart une dizaine de mètres plus loin. Il me vit, me regarda et demeura immobile. Puis se remit à regarder le paysage ou plutôt à essayer de voir les hommes qui exposaient plus bas leur nudité aux rayons du soleil.
Je restais à l’observer sans chercher à me cacher mais plutôt ostensiblement. Sentant que je l’observais, il me regarda et j’en profitais pour me caresser la verge à travers la toile de mon bermuda de surf. L’invite était on ne peut plus claire mais cette fois, j’avais l’initiative. Il me regardait me tripoter sans gêne ce qui me confirma bien qu’il était bien là pour çà. Je décidais donc de quitter ma position pour me diriger vers un chemin qui serpente dans la colline où s’il devait se passer quelque chose, nous serions tranquilles. Le fait même d’emprunter ce chemin qui ne mène à nulle part était une invite claire supplémentaire qui devait m’apporter la confirmation que je voulais. Comme je l’espérais, il entreprit de me suivre. Bingo !!! Je prenais un peu de vitesse pour avoir le temps, une fois là où je voulais aller, de préparer ma mise en scène. Arrivé dans un endroit que je jugeais suffisamment à l’écart, je baissais mon bermuda et commençais à me caresser en prenant soin de tourner le dos au chemin d’accès, pour qu’il ne découvre ma bite qui bandouillait qu’au dernier moment. La vue de mes fesses nues, le bermuda sur les claquettes et le mouvement de mon poignet devaient être suffisant pour l’éclairer sur la nature de mes actes.
Je l’entendis arriver par le bruissement des feuillages et le craquement des brindilles en même temps que je sentais sa présence. Je fis comme si je n’avais rien vu et je m’aperçus qu’il contournait ma position par la droite pour arriver dans mes deux heures et ainsi pouvoir voir l’objet de sa convoitise. Je continuais à me masturber et lui s’approcha de moi, le regard fixé sur ma queue. Je m’attendais à ce qu’il me la prenne à pleine main, il n’en fit rien. En fait, il se pencha vers elle pour l’engloutir dans sa bouche. Immédiatement, je sus qu’il n’était pas novice loin s’en faut, car il avala ma bite de taille tout à fait respectable jusqu’à la garde. Il aimait cela et cela était patent car il l’enveloppait de sa langue, resserrait la pression de ses lèvres, sortait pour léchouiller le gland et lécher la hampe. Quand, il me voyait frissonner, il relâchait ses lèvres de peur que je ne jouisse trop vite. Mais à ce rythme là, il eut vite fait d’avoir raison de moi et juste le temps de me retirer subrepticement pour voire mon sperme partir par saccades rythmées et allait mourir dans la terre du sol. Du pouce et de l’index, je pressais le gland pour évacuer la dernière goutte de jus qui sortait du méat.
A aucun moment, il ne s’était déshabillé, ni caressé lui-même, son seul plaisir consistant visiblement à me faire jouir et voir mon sperme.
Après avoir remis mon bermuda, je l’ai remercié et nous sommes dit au revoir et il m’a lâché un « à la prochaine » de bon augure…