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Il cherchait une co-location. Désireux de réduire me charges et disposant d’un grand logement, j’avais vu son annonce sur un site homo et j’avais appelé le numéro de portable qu’il y avait laissé. La voix du garçon était enjouée, douce et sure d’elle. L’impression était positive. J’essayais d’imaginer à quoi il pouvait bien ressembler. Tout ce que je savais c’est qu’il avait 28 ans et qu’il travaillait dans le prêt-à-porter en tant que responsable d’une boutique de fringues. Nous étions tombés d’accord sur le prix ainsi que sur certaines règles de vie commune. A l’heure convenue, j’entendis la sonnette de la porte d’entrée carillonner. Excité par la curiosité, je m’y précipitais mais attendis deux minutes avant d’ouvrir pour ne pas avoir l’air trop empressé.
David était plus beau que je ne l’avais espéré. Il était mince, longiligne, les cheveux bruns foncé, le teint hâlé, des yeux gris et un visage… un visage. Apparemment, il était une « fashion victime » mais cela je l’avais supposé compte tenu de son activité professionnelle.
Je lui proposé de s’asseoir et lui offrit à boire. Je m’asseyais en face de lui pour garder des distances que je jugeais nécessaires dans le cadre d’une sous-location et puis c’est vrai que, le jugeant trop bien physiquement pour moi, je m’étais résigné à ne pas chercher à le séduire.
Nous avons discuté une bonne heure sur tout, sur nos goûts, sur la définition de nos espaces et il fut décidé qu’il commencerait à emménager à partir du lendemain. J’étais subjugué par sa beauté tout à la fois masculine mais aussi quelque part androgyne. Le signal de la fin de l’entretien ayant été lancé par un « Bon je vais y aller… », je le reconduisais vers la porte d’entrée. Avant même d’arriver dans le vestibule, il se trouva tout prêt de moi et… succombant à une envie irrésistible, je l’enlaçais. Apparemment, il n’attendait que cela car lui-même me serra dans ses bras et m’embrassa goulûment avec un désir patent. La fièvre monta de suite en même temps que ma verge se redressait. Au même moment, je sentais une bosse dans son pantalon se durcir et prendre des proportions alléchantes voire inquiétantes. Nous étions animés tous deux d’une véritable frénésie sexuelle. C’était chaud, torride et il commença à me malaxer la bite à travers mon bermuda. Je mouillais déjà. Puis en quelque minutes, nous nous sommes foutus à poil en plein couloir et je l’ai entraîné vers la chambre à coucher, laissant nos vêtements épars. A peine sur le lit, nous avons continué à nous embrasser, puis j’ai abandonné ses lèvres pour son torse totalement et naturellement imberbe, ses tétons et son nombril et oups… j’ai buté sur son gland. Sa bite était là gonflée, belle, longue, large, avec un superbe gland déjà humide de désir.
J’ai contourné cette queue préférant laisser le morceau de choix pour plus tard et je suis descendu vers ses testicules. J’ai découvert deux belles prunes imberbes que j’ai gobées tour à tour et ensemble. Puis craquant, j’ai enfourné son gland et ai sucé, lécher cette belle pine qui devait faire plus de 20 centimètres de long. Quand il eut marre de subir, David me pris par les épaules pour me plaquer sur le dos. Il mordilla les seins tout en me caressant la bite, onctueusement. Puis il les quitta vite pour l’enfourner dans la bouche avec une avidité excitante. Il suçait divinement bien et je devais lutter pour ne pas exploser dans sa bouche moi qui, d’ordinaire, suis assez lent à la détente. Puis il abandonna ma verge pour aller titiller ma rondelle de sa langue comme s’il avait deviné que c’était un des trucs que je kiffais grave. Il m’a soulevé les cuisses pour mieux accéder à mon anus. C’est trop bon. Il jouait autour, y allait timidement puis revenait et rentrait sa langue comme s’il me pénétrait avec une mini-verge puis d’un seul coup me « broutait » la zone comme s’il voulait me manger. C’était divin. Puis il avalait ma verge et il revenait à ma rosette. Sa salive coulait, j’étais mouillé mais c’était le pied.
Puis je l’ai vu le pencher et j’ai compris qu’il avait repéré une capote sur ma table de chevet. Il déchira l’emballage et fit glisser le préservatif sur son braquemart. Une fois équipé, il plaça son gland à l’entrée de mon anus qui était ouvert et qui n’attendait que cela. Puis avec délicatesse, douceur, précaution, il s’enfonça lentement en prenant garde de ne pas me faire mal, et en une poussée il fut entièrement en moi. Il commença ses allers et retours pendant que je me branlais. Je sentais mon anus onduler autour de sa grosse pine comme si j’avais à l’intérieur une main qui le masturbait. En même temps, qu’il allait et venait de plus en plus vite et profondément, il me pinçait les tétons. J’eus très vite, un premier orgasme anal… puis un deuxième… puis un troisième et j’éjaculais ou plutôt j’explosais. Mon sperme partit en jets sur mon torse, mon visage, mes draps, mon oreiller. Il y avait partout. David après un ou deux allers et retours, grogna comme un animal, et je sentis sa semence arriver dans mon anus par saccades.
Il s’écroula sur moi, épuisé, et cela bien que je sois couvert de mon propre jus. Il était toujours en moi et bien que sa queue ait perdu un peu de sa raideur elle était toujours là bien épaisse. Au bout de cinq minutes de bisous et de câlins, il se dégagea et se fut le signal d’une douche à deux qui fut tellement coquine que j’ai crû qu’on allait repartir pour un autre round.
Je revenais de la plage où j’avais passé une partie de la journée à bronzer… nu. Pour quitter la crique où je m’adonne à ces plaisirs solitaires, je dois emprunter un chemin de crête au milieu des faux mimosas et des buissons divers. J’ai remarqué que la journée passant sans doute sous l’effet des U.V. et la vue d’autres hommes nus, ma libido s’aiguise et il faut peu de choses pour passer à l’acte.
Je me trouvais donc sur ce chemin quand je croisais un jeune homme de 25 ans environ, vêtu d’un jean, de boots, et d’un tee-shirt. Visiblement, il n’était pas là pour venir se baigner ou prendre un bain de soleil. Lorsque je passais à sa hauteur, il me regarda comme s’il avait un rayon de radiographie à la place des yeux. Je poursuivis ma route tout en décélérant mon pas. Puis, je me retournais pour constater que lui-même me regardait continuer. Il n’était pas spécialement beau mais paraissait avoir un corps bien proportionné, du moins dépourvu de graisse. Vu l’insistance de son regard et le fait que je pouvais lire dans ses yeux, une assurance certain, voire la certitude, je décidais de ne pas lui donner la joie de lui emboîter le pas immédiatement. Je continuais une dizaine de mètres où après un coude, je serai à l’abri de son regard par la végétation environnante. J’attendais deux à trois minutes pour revenir sur mes pas pour voir avec satisfaction qu’il était lui-même reparti dans son sens initial de marche. Trois minutes plus tard, je le voyais contemplant le panorama et la mer du haut d’un promontoire. Je me mettais à l’écart une dizaine de mètres plus loin. Il me vit, me regarda et demeura immobile. Puis se remit à regarder le paysage ou plutôt à essayer de voir les hommes qui exposaient plus bas leur nudité aux rayons du soleil.
Je restais à l’observer sans chercher à me cacher mais plutôt ostensiblement. Sentant que je l’observais, il me regarda et j’en profitais pour me caresser la verge à travers la toile de mon bermuda de surf. L’invite était on ne peut plus claire mais cette fois, j’avais l’initiative. Il me regardait me tripoter sans gêne ce qui me confirma bien qu’il était bien là pour çà. Je décidais donc de quitter ma position pour me diriger vers un chemin qui serpente dans la colline où s’il devait se passer quelque chose, nous serions tranquilles. Le fait même d’emprunter ce chemin qui ne mène à nulle part était une invite claire supplémentaire qui devait m’apporter la confirmation que je voulais. Comme je l’espérais, il entreprit de me suivre. Bingo !!! Je prenais un peu de vitesse pour avoir le temps, une fois là où je voulais aller, de préparer ma mise en scène. Arrivé dans un endroit que je jugeais suffisamment à l’écart, je baissais mon bermuda et commençais à me caresser en prenant soin de tourner le dos au chemin d’accès, pour qu’il ne découvre ma bite qui bandouillait qu’au dernier moment. La vue de mes fesses nues, le bermuda sur les claquettes et le mouvement de mon poignet devaient être suffisant pour l’éclairer sur la nature de mes actes.
Je l’entendis arriver par le bruissement des feuillages et le craquement des brindilles en même temps que je sentais sa présence. Je fis comme si je n’avais rien vu et je m’aperçus qu’il contournait ma position par la droite pour arriver dans mes deux heures et ainsi pouvoir voir l’objet de sa convoitise. Je continuais à me masturber et lui s’approcha de moi, le regard fixé sur ma queue. Je m’attendais à ce qu’il me la prenne à pleine main, il n’en fit rien. En fait, il se pencha vers elle pour l’engloutir dans sa bouche. Immédiatement, je sus qu’il n’était pas novice loin s’en faut, car il avala ma bite de taille tout à fait respectable jusqu’à la garde. Il aimait cela et cela était patent car il l’enveloppait de sa langue, resserrait la pression de ses lèvres, sortait pour léchouiller le gland et lécher la hampe. Quand, il me voyait frissonner, il relâchait ses lèvres de peur que je ne jouisse trop vite. Mais à ce rythme là, il eut vite fait d’avoir raison de moi et juste le temps de me retirer subrepticement pour voire mon sperme partir par saccades rythmées et allait mourir dans la terre du sol. Du pouce et de l’index, je pressais le gland pour évacuer la dernière goutte de jus qui sortait du méat.
A aucun moment, il ne s’était déshabillé, ni caressé lui-même, son seul plaisir consistant visiblement à me faire jouir et voir mon sperme.
Après avoir remis mon bermuda, je l’ai remercié et nous sommes dit au revoir et il m’a lâché un « à la prochaine » de bon augure…